Aller au contenu principal

egal.fr

 banniére

Robert Ménard relaxé en appel

Jeudi, 15 Mars, 2018
Logo

La cour d'appel de Paris a relaxé, hier, le maire de Béziers Robert Ménard, proche du Front national, condamné l'an dernier pour avoir déclaré qu'il y avait trop d'enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2000 euros d'amende pour «provocation à la haine et à la discrimination». Les sept associations antiracistes qui s'étaient constituées partie civile, dont la Licra, le Mrap, la Ligue des droits de l'Homme, SOS racisme et la Maison des potes, ont donc été déboutées. Élu en 2014 à la tête de Béziers, ville héraultaise de 70000 habitants, avec le soutien du Front national et à la faveur d'une triangulaire, l'ancien président de Reporters sans frontières est coutumier des polémiques, notamment sur l'immigration, la guerre d'Algérie ou la sécurité. 

 

La cour d'appel de Paris a relaxé, hier, le maire de Béziers Robert Ménard, proche du Front national, condamné l'an dernier pour avoir déclaré qu'il y avait trop d'enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2000 euros d'amende pour «provocation à la haine et à la discrimination». Les sept associations antiracistes qui s'étaient constituées partie civile, dont la Licra, le Mrap, la Ligue des droits de l'Homme, SOS racisme et la Maison des potes, ont donc été déboutées. Élu en 2014 à la tête de Béziers, ville héraultaise de 70000 habitants, avec le soutien du Front national et à la faveur d'une triangulaire, l'ancien président de Reporters sans frontières est coutumier des polémiques, notamment sur l'immigration, la guerre d'Algérie ou la sécurité. 

 

Publier un nouveau commentaire

Le contenu de ce champ sera maintenu privé et ne sera pas affiché publiquement.