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Les Potes à Toulouse

Jeudi, 21 Novembre, 2019
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Nous avons listé dix-sept demandes, précise Samuel Thomas, délégué général de la Fédération Nationale de la Maison des Potes.

Après Montpellier et Béziers, la Maison des Potes est passée par Toulouse.

Après Montpellier et Béziers, la Maison des Potes est passée par Toulouse. Cette structure qui lutte contre le racisme et les discriminations, est allée à la rencontre de différentes associations, (Partage Faourette, Droit au logement) et de figures politiques (Nadia Pellefigue et EELV), présenter une liste de revendications, qu'elle aimerait voir figurer dans le programme municipal pour 2020. «Nous avons listé dix-sept demandes, précise Samuel Thomas, délégué général de la Fédération Nationale de la Maison des Potes.

La marche des « potes » contre le racisme s’est arrêtée à Hayange

Mercredi, 4 Décembre, 2019
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« Nous voulons réaffirmer les valeurs de la République »

Après Beaucaire, Fréjus et Béziers et avant Henin-Beaumont, la marche « pour l’égalité et contre le racisme » a fait étape à Hayange lundi soir. Une délégation de la Fédération nationale des Maisons des potes s’est arrêtée symboliquement devant l’hôtel de Ville, sur les coups de 18 h pour y déployer une banderole. 

Après Beaucaire, Fréjus et Béziers et avant Henin-Beaumont, la marche « pour l’égalité et contre le racisme » a fait étape à Hayange lundi soir. Une délégation de la Fédération nationale des Maisons des potes s’est arrêtée symboliquement devant l’hôtel de Ville, sur les coups de 18 h pour y déployer une banderole. Cette halte à Hayange s’inscrit dans un tour de France qui comprend trente-deux villes-étapes. Parmi elles, celles qui ont à leur tête un maire du Rassemblement National.

Les marcheurs de l’égalité s’emparent de la question des migrants

Mardi, 14 Novembre, 2017
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Mercredi 13 décembre, une délégation de la Fédération nationale des Maisons des potes est allée à la rencontre d’élus grand-synthois dans le cadre de leur « Tour de France de l’égalité ». Le sort des réfugiés a été largement évoqué.

GRANDE-SYNTHE. Une jungle démantelée au Basroch, un camp de migrants parti en fumée à la Linière, une présence de réfugiés toujours d'actualité au Puythouck: ce n'est pas par hasard si les marcheurs de l'égalité ont fait une halte à Grande-Synthe.

L'appel citoyen des Marcheurs de l'égalité

Jeudi, 14 Décembre, 2017
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Ces jeunes font le tour de France pour convaincre chacun de la nécessité de lutter contre le racisme et les discriminations. Lundi, ils étaient au centre social.

Partis de Marseille le 13 novembre, les Marcheurs de l'égalité font le tour de France en 32 étapes avec une arrivée le 16 décembre à Paris. Lundi, ils ont fait étape au centre social espace Part'ages, à l'initiative de l'association Unvsti, en partenariat avec la fédération nationale des Maisons des potes

Étape à Jean-Moulin du tour de France de l'égalité

Mardi, 12 Décembre, 2017
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Un vent de citoyenneté soufflait dans l'amphithéâtre du lycée Jean-Moulin, 

le 11 Novembre. Les Marcheurs de l'égalité y faisaient l'une des étapes sur 32, de leur tour de France de l'égalité.

Les marcheurs anti-racisme ont été reçus à la mairie d’Amiens

Dimanche, 12 Novembre, 2017
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Ils militent contre les discriminations. Mardi 12 décembre, cinq membres de la fédération nationale de la Maison des potes, un réseau d’associations de quartier, ont fait étape à Amiens, où ils ont été reçus à l’hôtel de ville par Nathalie Lavallard, l’adjointe au maire chargée de la démocratie locale et des associations, avant un repas-débat avec l’association L’Un et l’autre. Ils effectuent depuis le 13 novembre un tour de France pour exprimer leurs revendications.

[Discriminations] Des potes font le Tour de France pour l’égalité

Lundi, 19 Novembre, 2018
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Lancement ce soir de la 8e édition du « Tour de France de l’égalité » lors d’un rassemblement devant la mairie de Marseille.Les participants iront ensuite à la Savine pour assister à une rencontre-débat autour du racisme et des discriminations.

 

 

Faire vivre l’égalité contre les discriminations

En France, pays où le principe d’égalité se trouve au fondement de l’ordre juridique et du contrat social, la question de l’intégration des populations dites d’origine étrangère se pose d’une manière récurrente ces dernières années. 
Aujourd’hui encore, des personnes qui sont à la 2e, 3e, voire 4e génération héritent du passé colonial de leurs parents ou grands-parents. L’égalité des droits, qui s’est tant fait attendre au cours de la période coloniale semble toujours en panne en ce début du XXIe siècle.  
 Les  enquêtes d’opinions, les observatoires et les recherches universitaires établissent régulièrement, que ce soit pour louer un appartement, chercher un apprentissage, un stage ou un emploi, le fait qu’il y a, chaque année, des centaines de milliers d’actes de discrimination qui sont commis en France. Autant de personnes  déclarent, chaque année, être témoins ou victimes de discriminations. Et même lorsqu’on a un emploi ou un logement, il l’est souvent en fonction de caractéristiques ethno-raciales parce qu’en France on considère que les personnes qui ont une « certaine » origine ne sont pas de « vrais » français.    
Une véritable 
politique de lutte contre les ségrégations
Des populations sont parquées dans telle ou telle périphérie ou grands centres urbains  en fonction  de ces caractéristiques. Idem pour l’emploi où elles sont sous- classées en vertu des mêmes a priori. Beaucoup subissent la double peine en raison de leur double appartenance ethnique et sociale.  
Aujourd’hui les valeurs de la République, au moins pour leur aspect égalité, sont loin d’être évidentes pour tous. Le seul moyen pour s’en sortir incombe aux pouvoirs politiques qui doivent mettre en place une série de mesures d’ordre juridique et social, notamment la mise en place d’une politique claire et efficace de lutte contre  les discriminations, afin de construire une véritable égalité des chances fondée sur la diversité tout simplement.

Mustapha Chtioui

 

Une dizaine de « marcheurs » lanceront, ce lundi soir, à 18h, devant la mairie de Marseille, la 8e édition du « Tour de France de l’égalité ». Ils se retrouveront, un peu plus tard dans la soirée (20h) à la Savine (15e), dans les locaux de l’Alliance savinoise, pour un dîner et une rencontre-débat avec les habitants autour de questions de racisme et de discriminations.

 

Initiative de la Fédération nationale des Maisons des potes, le choix de Marseille pour le lancement de ce « Tour de France » est un clin d’œil à « La marche pour l’égalité et contre le racisme » qui, il y a 33 ans (novembre 1983), est partie notamment de la Cité phocéenne.

Du 13 au 16 novembre, ces « marcheurs » sillonneront la France pour aller faire campagne contre le racisme et les discriminations. Ils effectueront 32 étapes entre Marseille et Paris... Au menu échanges et débats avec les citoyens et interpellation des élus, des institutions et des pouvoirs publics sur les ségrégations et pour l’égalité.

 

Conquérir des droits

Aix-en-Provence constituera la première étape, après Marseille, de ce « Tour de France ». Les « marcheurs » s'y rendront dès demain où ils appellent également à un rassemblement, à 13h, devant l’hôtel de ville. Ils seront accueillis ensuite par la Maison citoyenne aixoise. « On va rester à Aix jusqu’à mercredi pour aller soutenir les 4 mamies et papis, jugés ce jour-là, par le tribunal de grande instance, pour avoir transporté des migrants. Ils ont été interpellés le 6 janvier dernier dans la vallée de la Roya alors qu’ils transportaient six réfugiés qu’ils voulaient mettre à l’abri du froid », explique Karim Benchaïb chargé de communication de la Fédération nationale des Maisons des Potes. Un mouvement se situant entre la marche pour l’égalité de 1983 et le mouvement « Ne touche pas à mon pote » de SOS Racisme. « On s’inscrit dans l’esprit et dans la continuité de cette marche avec des revendications claires. On est surtout animé par les valeurs de l’éducation populaire, de l’antiracisme, de la laïcité, du féminisme, de la solidarité, de la justice sociale », souligne-t-il.

Des revendications comme l’exigence du CV anonyme dans certaines entreprises, les demandes « anonymisées » de logements sociaux ou encore davantage de moyens, humains et financiers, dans les quartiers populaires ou dans les Zones d’éducation prioritaire. Elles sont portées, pendant le « Tour de France », où, à chaque étape, le mouvement appelle à des rassemblements devant la mairie symbole, selon Samuel Thomas, délégué général des Maison des potes, du pouvoir politique. « On va interpeller le maire, qui est parfois le député, le sénateur, le ministre..., pour lui faire part de nos revendications et lui demander de s’engager à mettre en œuvre des actions dans le sens que nous revendiquons. A défaut, de les faire remonter plus haut », explique le délégué.

Une fédération qui se veut aussi une force dans les quartiers populaires où elle entend « redonner espoir aux populations », pour résister à la poussée des idées racistes, contre les discriminations « et pour conquérir des droits et les faire appliquer ».

La fédération réclame, en effet, une forte implantation dans les quartiers populaires où elle affirme développer des activités de solidarité sociale et d’actions citoyennes contre les ségrégations sociales et raciales. « Une grande démarche de citoyenneté qui est un peu l’identité des Maisons de potes, notamment autour des enjeux de l’égalité », lance Samuel Thomas. « Ce qui regroupe les Maisons de potes, c’est de porter toutes ces revendications communes pour faire de l’égalité une réalité, c’est notre devise », ajoute-t-il.

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Les marcheurs pour l’égalité ont fait étape à Plérin

Dimanche, 1 Janvier, 2017
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Les marcheurs pour l’égalité ont fait étape à Plérin 

Modifié le 13/12/2016 à 14:44 | Publié le 13/12/2016 à 14:44

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  • Les marcheurs ont été accueillis par le maire de Plérin. | Ouest-France

Ouest-France

Huit marcheurs du Tour de France « Unis pour l’égalité » ont fait étape ce mardi à la mairie de Plérin. Ils ont été accueillis par les élus et une trentaine d’habitants.

Mardi, entre un atelier d’échange sur les discriminations avec les élèves du lycée Chaptal à Saint-Brieuc et un débat public à l’hôtel de ville de Plérin, les marcheurs, revêtus de leurs maillots blancs « Faire de l’égalité une réalité », ont rejoint les élus et les Plérinais à l’heure de midi, devant la mairie.

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« Par ce Tour de France, parti de Marseille, nous voulons être entendus par les candidats à la présidentielle », a expliqué Samuel Thomas, directeur de la Maison des Potes organisatrice de la marche. L’organisation revendique notamment le droit de vote pour les étrangers aux élections locales, des sanctions contre les discriminations à l’embauche interdites par la Loi, la régularisation des travailleurs sans papiers. 

Un message d’espoir

Cette étape à Plérin ne doit rien au hasard. Elle a été largement soutenue par l’association briochine UnVsti qui s’apprête à assurer la gestion et l’animation du centre social, dont plusieurs salariés étaient présents. « Les valeurs défendues ici sont partagées par l’équipe municipale » a souligné le maire Ronan Kerdraon.

Saïd Bendarraz, adjoint au maire de Saint-Brieuc, a salué un « message d’espoir lancé depuis les marches de la mairie de Plérin », et Jean-Luc Canté, délégué du Préfet rappelé l’importance de « lutter pour le bien vivre ensemble ». Le slameur briochin Radouan Nasri a terminé la rencontre en lisant un texte composé pour l’occasion.

La Maison des Potes est passée au stade Serge-Oltra à Grabels

Dimanche, 1 Janvier, 2017
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Mercredi 23 novembre des bénévoles de La Maison des Potes ont assisté aux séances d'entraînement des jeunes footballeurs de l'US Grabels. 

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