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Lutte contre les discriminations

Présidentielle 2022 : les quartiers populaires, oubliés de la campagne

Lundi, 28 Mars, 2022
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La question des banlieues, stigmatisées à droite, absentes des discours à gauche, est reléguée au second plan, déplorent élus et associations. Jean-Louis Borloo sonne l’« alarme ».

Il n’a jamais commenté publiquement la séquence, jamais reparlé ouvertement de son « plan » pour les quartiers populaires, présenté au président de la République Emmanuel Macron, en mai 2018, et balayé aussitôt par ce dernier.

Les Français favorables à plus d'actions contre les discriminations

Lundi, 21 Novembre, 2022
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« On voit pourtant, par exemple, des enseignants étrangers qui, faute de pouvoir être titularisés, travaillent comme vacataires. Ils n’ont pas les mêmes caisses de retraite, pas de stabilité de l’emploi et pas le même salaire que leurs collègues », rappelle Samuel Thomas, délégué général de la Fédération des Maisons des potes.

Le soutien des Français aux mesures contre les inégalités basées sur l’origine supposée se renforce, selon le sondage annuel Harris Interactive pour la Fédération des Maisons des potes, rendu public ce lundi 21 mars.

Cela peut paraître contre-intuitif, au regard de la teneur de la campagne électorale : les Français demeurent très majoritairement favorables à des actions plus volontaristes contre le racisme.

Baromètre. Plus de 80 % des Français ne tolèrent pas les discriminations

Samedi, 2 Octobre, 2021
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La lutte pour l’égalité, quelle que soit l’origine ou la religion, était au cœur des universités européennes de la Fédération des Maisons des potes, qui publie ce mardi son baromètre sur la lutte contre les discriminations.

Origine, nationalité, couleur de peau, religion : autant de critères qui justifient trop souvent un inégal accès à l’emploi ou au logement, des carrières bloquées, des retraites amputées.

Mickey retourne devant la justice

Mercredi, 25 Mai, 2016
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Discrimination Après neuf ans de procédure, la société Euro Disney comparaît cet après-midi pour discrimination à l’embauche. Elle est accusée par des associations antiracistes d’avoir voulu recruter des salariés exclusivement « européens » MEAUX Le groupe côté en bourse sera jugé à 13h30 devant le tribunal correctionnel de Meaux en Seine-et-Marne pour des faits de discrimination à l’embauche fondée sur un critère de nationalité. Des faits passibles de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. L’affaire débute en septembre 2006, avec la publication d’offres d’emploi dans le quotidien gratuit 20 Minutes : destinées à recruter des artistes pour Disneyland Paris, l’annonce du groupe s’adressait aux personnes « de nationalité européenne ». Illégale, la mention de ce critère visait à exclure les candidats non européens, estime SOS Racisme, qui dépose plainte en février 2007. Pour l’association, Disney entendait assurer ainsi un recrutement de ses salariés conforme à sa clientèle, en majorité européenne. « Le recrutement des ‘Cast Members’ (les salariés d’Euro Disney, NDLR) opérationnels prend en compte les différentes nationalités des visiteurs », affirme un bilan social de 2007, cité par SOS Racisme à l’appui de sa plainte et consulté par l’AFP.

 Euro Disney s’était alors défendu, invoquant un cas isolé et une formulation maladroite de cette annonce, qui ne se retrouvait d’ailleurs pas dans celles publiées pour les mêmes postes à Pôle emploi et sur le site du groupe. Classiication ethno-raciale ? Après un premier non lieu en 2013, conformément aux réquisitions du parquet, la fédération nationale des Maisons des potes (FNMDP), fondée par des anciens de SOS Racisme et ayant repris le dossier en main, a finalement obtenu ce renvoi en correctionnelle.

Législation : des preuves difficiles à apporter

Mardi, 17 Février, 2004
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Vice-président de SOS-racisme, Samuel Thomas estime que la France « dispose des dispositifs les plus répressifs d'Europe sur les discriminations, surtout depuis Perben II » (loi sur la grande criminalité). Pour une victime, pourtant, il s'agit d'une vraie course d'obstacles. La première barrière à passer est au commissariat ou à la gendarmerie, où il lui est souvent proposé de déposer une main courante plutôt qu'une plainte, affirme Samuel Thomas.

 Deuxième obstacle, dit-il, au niveau des parquets où « les discriminations ne font pas partie des priorités et sont la plupart du temps classées sans suite ». S'il y a enquête, les policiers, poursuit-il, manquent souvent d'expérience pour traiter ce type de dossiers, qui restent insuffisants pour être pris en compte. La principale difficulté consiste à apporter des preuves de la discrimination. Aujourd'hui, la meilleure preuve est encore le témoignage d'un tiers.

Discriminations

Lundi, 13 Novembre, 2017
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Discriminations Lancement ce soir de la 8e édition du « Tour de France de l'égalité » lors d'un rassemblement devant la mairie de Marseille. Les participants iront ensuite à la Savine pour assister à une rencontre débat autour du racisme et des discriminations. Une dizaine de « marcheurs » lanceront, ce lundi soir, à 18h, devant la mairie de Marseille, la 8e édition du « Tour de France de l'égalité ». Ils se retrouveront, un peu plus tard dans la soirée (20h) à la Savine (15e), dans les locaux de l'Alliance savinoise, pour un dîner et une rencontre-débat avec les habitants autour de questions de racisme et de discriminations. Initiative de la Fédération nationale des Maisons des potes, le choix de Marseille pour le lancement de ce « Tour de France » est un clin d'œil à « La marche pour l'égalité et contre le racisme » qui, il y a 33 ans (novembre 1983), est partie notamment de la Cité phocéenne. Des rassemblements devant les mairies afin d'interpeller le pouvoir politique sur les questions des discriminations et pour l'égalité.

 Crédit Photo : D.R. Du 13 au 16 novembre, ces « marcheurs » sillonneront la France pour aller faire campagne contre le racisme et les discriminations. Ils effectueront 32 étapes entre Marseille et Paris... Au menu échanges et débats avec les citoyens et interpellation des élus, des institutions et des pouvoirs publics sur les ségrégations et pour l'égalité. Conquérir des droits Aix-en-Provence constituera la première étape, après Marseille, de ce « Tour de France ».

Le testing, initié par SOS Racisme

Jeudi, 1 Décembre, 2005
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Le testing, cette pratique qui permet de prouver une sélection, pour un logement ou un travail, opérée sur des critères discriminatoires et qui va être prochainement légalisée, a été initiée en France par SOS Racisme à partir de 1998. Sa légalisation, annoncée jeudi 1er décembre par le Premier ministre, va permettre d'inscrire dans la loi ce que la Cour de Cassation a déjà accepté au niveau de la jurisprudence, a estimé Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme.

L e Testing, une pratique initiée par SOS Racisme qui se félicite jeudi de l'annonce de Dominique de Villepin. Le testing, cette pratique qui permet de prouver une sélection, pour un logement ou un travail, opérée sur des critères discriminatoires et qui va être prochainement légalisée, a été initiée en France par SOS Racisme à partir de 1998. Sa légalisation, annoncée jeudi 1er décembre par le Premier ministre, va permettre d'inscrire dans la loi ce que la Cour de Cassation a déjà accepté au niveau de la jurisprudence, a estimé Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme.

Lutte contre les discriminations : Un sondage teste les citoyens européens

Mercredi, 26 Octobre, 2016
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À l'initiative de l'association antiraciste La Maison des Potes, l’institut Harris Interactive a interrogé 3.349 personnes de plus de 18 ans dans trois pays européens. L’objectif ? Sonder leur adhésion, ou au contraire leur opposition, à sept propositions envisageables pour lutter contre les discriminations. D'après les résultats de cette enquête, menée en France, en Allemagne et en Italie, entre le 13 et le 18 octobre, une grande majorité y est favorable. Ce sondage rendu public mercredi 26 octobre à l’occasion des universités européennes contre le racisme et la discrimination apporte, d’après Samuel Thomas, délégué général de La Maison des Potes, « un soutien important à nos idées, pour dire que non, la guerre culturelle n’est pas gagnée par l’extrême droite sur ces sujets ».

 Ainsi, plus de 80 % des personnes interrogées dans ces trois pays pensent qu'à travail égal, il faut garantir la même rémunération et la même retraite, quelle que soit la nationalité du travailleur. Une large majorité (82 % des Français, 77 % des Allemands, 87 % des Italiens) souhaite également que les sanctions juridiques contres les employeurs « coupables de discriminations liées à l'origine, la nationalité, la couleur de peau ou la religion » soient renforcées.

Discrimination raciale au Mans : 10.000 F d'amende pour un patron de bar.

Vendredi, 14 Janvier, 2000
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"C'est un jugement satisfaisant", a indiqué à l'AFP Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme. "Cela montre que les méthodes de testing payent plus que de mettre son poing sur la gueule de quelqu'un, même si cela prend plus de deux ans". "Mais les auteurs de discrimination n'ont été condamnés qu'à des peines symboliques. Elles n'ont pas la même valeur qu'une fermeture administrative de l'établissment, qu'une peine de prison avec sursis ou la privation des droits civiques", a-t-il nuancé. 

Le tribunal correctionnel du Mans a condamné vendredi le patron d'un bar de la ville à 10.000 francs d'amende, pour discrimination raciale à l'entrée de son établissement. Un amende de 12.000 francs avait été requise lors du procès, le 10 décembre, contre Loïc Macé, 33 ans, qui risquait jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 200.000 francs d'amende. Le portier, Abdallah Ben Salam, 30 ans, poursuivi pour les mêmes faits et jugé par défaut, a été condamné à 5.000 francs d'amende. En mai 1997, Mamadi Sangaré, un étudiant sénégalais de l'université du Mans alors âgé de 22 ans, avait port

Concours de profs du privé: une mesure excluant des étrangers annulée

Samedi, 26 Juillet, 2014
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Le texte "instaurait une nouvelle discrimination", a déclaré à l'AFP Samuel Thomas, de la "Maison des Potes", une des associations ayant attaqué le décret. Il a toutefois souligné que cette "discrimination au détriment des étrangers non-européens" existait toujours dans le secteur de l'enseignement public et que Benoît Hamon, actuel ministre de l'Education nationale, s'était engagé en 2010 lors d'une convention du PS à y mettre un terme. En s'appuyant sur la décision du Conseil d'Etat, en date du 16 juillet, les associations entendent désormais engager un recours contre la mesure semblable existant dans l'enseignement public, a précisé M. Thomas

Paris, 26 juil 2014 (AFP) -Des organisations de défense des droits des immigrés et des syndicats ont obtenu du Conseil d'Etat l'annulation d'une mesure excluant des concours de l'enseignement privé les étrangers non ressortissants de l'Union européenne, ont-elles indiqué samedi. L'article 3 de ce décret du 23 août 2013, fixant de nouvelles règles de recrutement et de formation pour les enseignants des écoles privées sous contrat, excluait les ressortissants non-communautaires des postes de titulaires, ne leur permettant d'être que vacataires, et avait été attaqué comme une atteinte au

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